Citations Saison 1

01 - Bienvenue à Sunnydale 1/2

WILLOW : On est sorti ensemble mais on a rompu, il avait volé ma poupée Barbie ! (à propos d'Alex)
ALEX : Je peux vous aimer ? ... Euh, vous aider ? (À Buffy)
ALEX : Attends ! T’as oublié... ton crayon ! (Tenant un pieu)
BUFFY : A partir d'aujourd'hui je ne fréquenterais plus que les vivants ! ... Je veux dire des gens pleins de vie ! (A Joyce)
BUFFY : Qu'est-ce qui se passe ? Il y a eu un bulletin d'information ? Est-ce que c'était dans la presse dis-moi ? Est-ce que quelqu'un dans cette ville ignore encore que je suis l'Exécutrice ? (A Alex)
BUFFY : C'est... c'est une arme d'auto-défense. A Los Angeles, tout le monde en a. C'est très démodé le gaz paralysant. (A Alex, à propos de son pieu)
BUFFY : Il la prépare à quoi ? A se faire virer du collège ? A perdre ses amis ? A la solitude ? Ainsi qu'à passer toute sa vie à se battre, à faire attention et à garder son secret pour ne mettre personne en danger ? Alors, allez-y, préparez-moi... (A propos du rôle d'un Observateur)
BUFFY : Alors on peut utiliser la manière forte ou... Eh bien, je ne vois que la manière forte !
JOYCE : Sois positive et... Trésor, ne te fais pas renvoyer.
JESSE : Tu veux danser ?
CORDY : Avec toi ?
JESSE : Ben, heu... oui !
CORDY : Ben, heu... non !
ALEX : J'ai un problème avec les maths...
WILLOW : Quelle partie ?
ALEX : Les maths...
JOYCE : Est-ce que tu sors ce soir ?
BUFFY : Oui, je vais dans une boite.
JOYCE : Oh, et dans cette boite il y aura des garçons ?
BUFFY : Non maman, c'est un couvent !
FLUTIE : Les étudiants ont le droit de m'appeler Bob.
BUFFY : Bob.
FLUTIE : Mais ils ne le font pas.
ALEX : Qu’est ce qu’on peut faire pour sortir de là ?!
JESSE : Moi je sais.
ALEX : Quoi alors ?
JESSE (se transformant en vampire) : Mourir.
GILES : L'informatique, ce n'est pas ma tasse de thé.
BUFFY : Bienvenue dans le monde réel !
JESSIE : Dis, c'est moi ou tu deviens idiot ?
ALEX : Non, c'est pas toi.
ANGEL : Vous voulez les tuer ! Les tuer tous...
BUFFY : C'est faux je suis désolée mais vous avez gagné un an d'abonnement à notre journal !
GILES : Tous ceux qu'on redoute de trouver la nuit sous son lit et à qui on ne pense plus le jour venu... ils sont tous réels !
BUFFY : Quoi ? Vous avez envie d'écrire des feuilletons pour la télé ?
BUFFY (à propos d'Alex) : Ah, tu veux dire que tous les deux...
WILLOW : Non, c'est une vielle histoire, on est sortis ensembles mais on a rompu.
BUFFY : Et pourquoi ?
WILLOW : Il avait volé ma poupée Barbie !
CORDELIA : Mort, oui ! Un vrai cadavre !
ALEX : De la tête aux pieds, tu veux dire ?
CORDELIA : Si tu allais te faire cuire un oeuf ?


02 - Bienvenue à Sunnydale 2/2

CORDELIA : Hey, la débile ! Qui t'as donné la permission d'exister ? Est-ce que je m'immisce dans tes conversations privées ? Non, et pourquoi ? Parce que tu m'ennuies ! (A Willow)
LUCAS : Tu n'étais alors que le repas du Maître... Félicitations, te voilà promu au rang... d'appât ! (à Jesse)
BUFFY (à Angel) : Écoutez, si on est apparemment appelés à se revoir chaque fois que je me lance dans des recherches vampiriques, puis-je au moins savoir votre nom ?
ANGEL : Angel.
BUFFY : Angel... j'aime bien.
GILES (à propos de l'ordinateur) : Peut-être pourriez-vous extirper d'autres renseignements à cette machine. (les autres le dévisagent) L'informatique... ça n'est pas trop ma tasse de thé...
BUFFY : Bienvenue dans le monde moderne !
BUFFY (envoie valser un vampire) : Oh ! Quelle maladroite ! Vous aurais-je interrompue ?
LUCAS : Toi !
BUFFY : Vous comptiez vous amuser... sans moi ?
LUCAS : Tu nous aurais manqué !
BUFFY : Je suis très touchée !
LE MAITRE (à un vampire) : Alors tu vois, je ne t'ai pas mangé ! Oh, attends ! (lui plante son doigt dans l'œil) Je crois que tu as un ongle dans l'œil !
ALEX : T'as déjà décapité quelqu'un ?
BUFFY : Oh ! Oui, je m'étais retrouvée complètement coincée dans une cave avec un boucher polonais, enfin c'en était un avant qu'il devienne vampire, et ce boucher avait un cou vraiment très large, et tout ce que j'avais c'était un minuscule canif... (Alex est dégouté) T'as pas très envie que je te raconte ça, hein ?
JESSE (à propos de Cordelia) : Elle est pour moi !
DARLA : Ils sont tous pour le Maître !
JESSE : ...Même pas une goutte ?
WILLOW : Olala, il faut que je m'assoie.
BUFFY : Tu l'es déjà.
CORDELIA : Où il faut appuyer pour la sauvegarde ?
WILLOW : Sur Delete.
CORDELIA : Sur Delete ? C'est où ça... Oh !
FLUTIE (surprenant Buffy prête à partir) : Et ou allons-nous comme ça ?
BUFFY : Nous ? Il n'y a que moi !
FLUTIE : Nous ne quittons pas l'enceinte du lycée ?
BUFFY : Non ! Non, j'allais, j'allais seulement admirer la clôture de plus près, c'est une clôture fabuleuse !
JESSIE : Ils ont dit que j'étais leur appât.
ALEX : Toi qui n'aime pas la pêche...
ALEX : Jessy, rappelle-toi, je suis ton ami !
JESSIE : Tu n'es rien du tout !
ALEX : Alors là t'es vache !
BUFFY : Alors Giles, vous avez de quoi nous remonter le moral ?
GILES : Ca vous va la fin du monde ?
BUFFY : Vous êtes un canaillou.
LUCAS : Le métal ne peut rien contre moi.
BUFFY : Le métal peut-être, mais le soleil si !
LUCAS : Aaaaaahhhhh ! Hein ?
BUFFY (le pieute) : Il ne se lève que dans 9 heures, pauvre cloche !


03 - Sortilèges

ALEX : D’abord les vampires, puis les sorcières... Va y avoir de la maison à vendre dans le coin.
ALEX : Car c'est moi, Alex, le seigneur des crétins. Puissent tous les crétins de base se courber devant moi.
ALEX : Je rigole face au danger. Ensuite je cherche un trou pour me cacher.
AMY : Qu'est-ce que ça va me manquer l'excitation intellectuelle d'épeler des mots avec les bras ! (à propos des pom-pom girls)
GILES : C’est de la folie pure. Qu’est ce qui t’est passée par la tête ? Tu as été élue, ta mission est du plus grand sérieux. Je fais aussi la part de la jeunesse mais j’aimerais que tu fasses preuve de responsabilité. Au lieu de ça, tu te rends esclaves d’une espèce de... de culte !
BUFFY (habillée en pom pom girl) : Vous n’aimez pas la couleur ?
BUFFY (à propos des pom-pom girls) : Il existe des entraîneurs pour ca ?
AMY : Oh oui, tu n'en as pas ? Je travaille avec maman : 3h le matin, 3h heures le soir.
BUFFY : Si moi je passais un temps pareil avec ma mère il se pourrait bien que ca se finisse par un assassinat !
GILES : Pourquoi veut-on faire du mal à Cordélia ?
WILLOW : Peut être bien parce que c’est une punaise... Quoi, j’ai dit ça ?
BUFFY (à propos d'un bracelet offert par Alex) : Oh, c'est gentil !
BUFFY (lit l'inscription) : A toi pour toujours ?
ALEX : C'est... c'est vendu comme ça hein, c'est standard !
GILES : Cette sorcière jette des sorts effroyables qui défigurent et qui blessent tout ça dans le but de devenir une pom-pom girl ?
BUFFY : Je crois que vous sous-estimez la pression que les parents imposent aux ados ! Si vous n'êtes pas une parfaite copie carbone, y a du grincement !
ALEX : C'est pour ça que t'es trop cool ! T'es un genre de gars ! T'es mon meilleur copain pour parler des trucs des filles !
WILLOW : Oh ! Génial : je suis un gars.
WILLOW (à propos d'Amber) : Cette fille prend feu !
CORDELIA : Ca suffit les images fortes !
BUFFY : Maman, j'accepte que tu aies eu une sexualité mais ne me demande pas d'apprécier la coupe baba-cool !
JOYCE : C'était du dernier chic ! On ne vous enseigne donc rien en histoire ?
CORDELIA (à Amy & Buffy) : Hey ! Ca m'a fait un de ces chagrins, qu'on vous ait rétrogradées tournantes ! Non, non attendez, c'est pas vrai !
AMY : Oui, qu'est ce que ça va me manquer l'excitation intellectuelle d'écrire des mots avec les bras !

04 - Le Chouchou du prof

ALEX : J'ai une dernière chose à dire... : Au secours ! Au secours ! Pitié !
A la mante religieuse qui s'apprête à le tuer.
WILLOW : Il a même réussi à m'ennuyer, moi, la mordue des sciences ! (À propos d'un cours de biologie particulièrement barbant.)
CORDELIA : Je suis sûre que j'ai perdu presque 500 grammes, deux fois plus efficace que ce que ce charlatan m'a prescrit ! Je ne voudrais pas qu'on tue un prof tous les jours pour me permettre de maigrir ! Mais, j'essaie de voir le coté positif des choses ! (au psy, après la mort d’un prof)
BUFFY : Miss Catastrophe, c'est moi.
BUFFY : Petite chauve-souris, requiem en sonar mineur, qu'il t'accompagne en enfer !
ALEX (à propos d'Angel) : Mais il est magnifique ! Je l'aurais souhaité un soupçon plus bouffi !
WILLOW : Il est très beau-gosse !
ALEX : Il est trop séduisant ce mec ! Pourquoi personne ne m'en a parlé !
ALEX (à propos du Dr Gregory) : Il y a une question délicate que personne n'a envie d'entendre mais : Où est passée sa tête ?
WILLOW : Bonne question ! C'est vrai que j'ai pas envie de l'entendre !
MLLE FRENCH (à propos des mantes religieuses) : On constate souvent que les femelles sont d'une taille et d'une agressivité plus grande que celle des mâles.
BLAYNE : Moi je suis pour l'agressivité des femmes.
ALEX (à propos de Mlle French) : Je me demande ce qui l'attire chez moi. Probablement ce mélange d'une sereine beauté et d'un troublant magnétisme ! (à Buffy & Willow) Mlle French ! Vous êtes sans doute trop jeunes pour comprendre ce qu'une femme plus âgée trouve à un garçon comme moi !
BUFFY : Oh ! Mais si je comprends !
ALEX : Bien !
BUFFY : Un tout jeune homme est encore trop bête pour se demander pourquoi une femme ne cherche pas quelqu'un de son âge, et il est trop romantique pour savoir que la chirurgie fait des miracles !
ALEX : Quelle chirurgie ? De quoi tu parles ?
WILLOW : Eh oui ! Il est si jeune !
BUFFY : Et tellement innocent !
MLLE FRENCH : Est-ce que tu as déjà été avec une femme avant ?
ALEX : Vous voulez dire... dans la même chambre ?
MLLE FRENCH : Tu sais à quoi je pense...
ALEX : Oh ! Euh, laissez-moi réfléchir ! Oui, oui bien sûr ! Souvent ! Et parfois c'était une ou deux fois ! Mais ça a été... oh, elle était... incroyable ! ...Non...
GILES : Oh ! Je présume que cette intrusion au sein de l'ordinateur de l'institut Médico-légal n'a rien de répréhensible ?
BUFFY & WILLOW (à l'unisson) : Rien du tout !
GILES : Oui, bon je n'étais pas là, je n'ai rien vu et je n'ai pas pu vous en empêcher !
GILES : Les journées se suivent et se ressemblent...
BUFFY : Radieuses, ensoleillées, magnifiques ! Comment échapperons-nous à ce tourment ?
GILES : Bonne question !
BUFFY (à propos de Mlle French) : Alex, elle n'est pas ce qu'elle semble être !
ALEX : Je sais ! Elle est encore mieux ! Je sais, elle n'est pas aussi mystérieuse que le mec qui te refile ses vestes en cuir, et puisqu'on est sur le sujet c'est quoi déjà ce nom de gonzesse : Angel ? C'est ça ?
BUFFY : Qu'est-ce que ça à avoir ?
ALEX : Rien ! Son nom me plait pas !
GILES : Et où je vais trouver ça ?
BUFFY : Dans la vidéothèque. Il n'y a pas de bouquins, bon, mais c'est froid et humide ! Vous vous sentirez chez vous !
BUFFY (à la mante religieuse) : Tu te souviens du Dr Gregory ? Tu lui as arraché la tête ! Il disait que quand on fait ses devoirs, on apprend plein de trucs ! Par exemple, ce qui arrive aux mantes quand elles entendent ça ! (elle met le magnétophone en route mais on entend la voix de Giles) Giles ?
GILES : C'est sur l'autre face !
WILLOW : Je suis contente que t'aies rien ! C'est si injuste qu'elle ne s'attaque qu'aux jeunes gens vierges !
ALEX : Ah ! ...Quoi ?
BLAYNE : Mon père est avocat ! Si l'un de vous va raconter que je suis puceau, je le poursuivrais pour diffamation !
ALEX : Blayne ? La ferme !
BLAYNE : J’ai rendez vous avec Mlle French ce soir. Et toi ? Ah oui ! C’est demain. Moi je suis le premier et toi le second.
ALEX : Oui, il lui faut une répétition avant la grande première !
BLAYNE : Il faut qu'une fille ait un truc exceptionnel pour m'épater.
ALEX : Ouais, une lobotomie...
MLLE FRENCH : La Mante religieuse est une fascinante créature, condamnée à la solitude, quelqu'un sait-il pourquoi ? Buffy ?
BUFFY : Parce que c'est une sale et horrible bestiole ?
BUFFY : Entomologie et mythologie ?
GILES : Bestioles et contes de fée.
BUFFY : Oui bien sûr, je le savais ça...
MLLE FRENCH : Toi, tu m'as l'air froid comme un concombre.
ALEX : Oh, j'adore les concombres, surtout en salade grecque...
WILLOW : Selon le dossier de Melle French, elle aurait 90 ans.
GILES : Ah bon ? Elle fait pas son âge !
BLAYNE : OH-OH ! Range tes drapeaux fillette ! Je ne suis pas...
GILES : Oui, la sirène mante ne guette que les purs.
BLAYNE : Mon père est avocat. Celui qui dit que je suis puceau, je l’attaquerai pour diffamation !
GILES : On suppose que la sirène mante adopte l'apparence d'une magnifique femme et entraine ensuite d'innocents puceaux dans son lit.
BUFFY : Puceaux ? Bien, Alex... Bien j'imagine qu'il l'est probablement.
WILLOW : Elle va le tuer !


05 - Un Premier rendez-vous manqué

CORDELIA : Quand tu en auras marre de jouer à la poupée, tu me feras signe ! (A Owen qui danse avec Buffy)
GILES : D'accord, je vais prendre ma machine à remonter le temps, retourner au 12e siècle et demander aux vampires s'ils veulent bien reculer leur prophétie d'un jour pour que tu puisses aller à ce rendez-vous.
GILES : Petit, je voulais devenir pilote... ou plombier en cas d'échec.
BUFFY : On n'a pas été convenablement présenté : moi c'est Buffy et toi tu dois être... (elle le tue) mal en point. (à un vampire)
BUFFY : Ouh ! Deux points pour Miss Muscles et un zéro pointé pour l'intello ! (qui vient de trouver ce que Giles cherchait dans un livre)
BUFFY : Ecoutez, je n'irai pas loin. Alors, si c'est l'Apocalypse ce soir... bipez-moi !
BUFFY : Ah, tiens ! On peut faire ça, moi je tue et vous, vous revendez la camelote ! (A Giles qui a ramassé une bague appartenant à un vampire pieuté par Buffy)
BUFFY : Oh, et bien, ma montre est cassée et mes parents ne veulent pas de pendule à la maison, donc je ne savais ni l'heure, ni le jour où on était... (excuse bidon pour excuser envers Owen)
GILES : Deux frères sont entrès dans la morgue. Ils m'ont couru après, mais j'ai été plus malin qu'eux.
BUFFY : Plus malin ?
GILES : Je me suis caché.
GILES : Buffy, le seul fait de penser que tu pourrais chercher un livre ici me fait dresser les cheveux sur la tête, concentrons-nous plutôt sur notre problème.
BUFFY : Bien sûr, je suis désolée, vous avez raison, les vampires, oui... Oh... Vous trouvez que cette robe me grossit ?
BUFFY (en examinant un cadavre) : Ouh, le pauvre !
GILES : Il ne souffre plus tu sais.
OWEN (à propos d'une soirée au Bronze) : Qui d'autre vient ?
CORDELIA : Tu veux dire en plus de moi ?
ALEX : T'as fait demi-tour !
BUFFY : Que voulais-tu que je fasse d'autre ? Que je lui dise Pardon, je suis en retard parce que j'étais au cimetière avec Giles, on attendait un vampire pour l'assommer et empêcher une prophétie de s'accomplir ?
ALEX : Euh, le coup du pneu crevé, tu…
GILES : Parfait, je vais sauter dans ma machine à remonter le temps, retourner au 12ème siècle et demander aux vampires de reculer leur prophétie pour que tu puisses aller à ce rendez-vous !
BUFFY : En voilà une blague qui me fait rire à gorge déployée...
06 - Les Hyènes
GILES : C'est affligeant, il s'est transformé en jeune homme, tu vas devoir l'éliminer. (à propos d'Alex)
WILLOW : Dommage qu'Alex n'ait pas été hypnotisé par un petit lapin ou par des canards !
ALEX : C'est comme dans tous les collèges, au début de l'année tu trouves un bureau, un tableau et puis des salauds !
BUFFY : Disons que du fait de son état animal, son offensive de charme a manqué de musique douce, de champagne et de bougie. (à propos d'Alex)
PRINCIPAL FLUTIE : Quand j'avais votre âge, je m'intéressais à la vie du collège, à l'association sportive, aux études ! Et bien sûr, quand j'avais votre âge, il y avait le proviseur qui m'expliquait comment étais la vie quand il avait mon âge... (à Buffy)
PRINCIPAL FLUTIE : Vous allez être collés tellement longtemps que même vos petits enfants seront là après les cours ! (à la bande de hyènes)
BUFFY : Cette dernière passe était un peu molle, vous ne voulez pas la refaire ?
GILES : Non, non, non, ça suffira. Maintenant tu retournes en cours. Au moins le temps que je retrouve mon esprit combatif.
BUFFY (à propos d'Alex) : Je l'ai frappé.
WILLOW : Avec quoi ?
BUFFY : Une table. Il a essayé de me séduire façon cro-magnon.
BUFFY (à propos d'Alex) : Cela dit, je ne suis pas, comment dire, aussi mère poule que certaines autres filles...
WILLOW : Mère poule ?
BUFFY : Oui, tu sais; celle qui est toujours à son écoute, qui surveille ses humeurs, sa santé, sa tension...
WILLOW : 14,8 !
BUFFY : C'est toi qui es malade !
BUFFY (à Alex qui la renifle) : Quoi encore ?
ALEX : T'as pris un bain ?
BUFFY : Oui, j'ai pris un bain, ça m'arrive en fait assez souvent.
ALEX : C'est pas grave...
GILES : Il existe un moyen pour transférer l'esprit à un corps humain.
BUFFY : Bonne nouvelle ! Il y a un volontaire ?
BUFFY : Qui c’est ceux là ?
ALEX : C’est la même chose chaque année, dans ta classe, tu trouves un tableau un bureau et... des salauds.


07 - Alias Angelus

WILLOW : Chouette alors, c’est un bon vampire ! Enfin, je veux dire... sur une échelle de 1 à 10, on donnerait 10 au plus cruel et barbare de leur clan, et lui par rapport à eux, je lui donne... 1. (à propos d'Angel)
ANGEL : J'ai l'apparence d'un humain, mais je n'en suis pas un. Je voulais te tuer ce soir. (À Buffy)
BUFFY : Ca date du moyen âge ce truc là, je vais pas me battre contre Frère Tuck ! (un bâton à la main)
BUFFY : Tu devrais investir dans un bon antiride, c'est un conseil ! (à Darla en vampire)
BUFFY : Tu ne sais même pas de qui je voulais parler ! Un canon, ça peut peut-être être très péjoratif ! Et quand je dis que tu as les yeux pénétrants, je veux dire que tu les as marrons ! Et le A, c'est pas du tout pour Angel ! Non pas du tout, ça remplace Acmède, un charmant étudiant étranger ! Et tous ces rêves que je décris, et bien ça n'a rien à voir avec toi, je t'assure ! (A Angel qu'elle croit coupable d'avoir lu son journal intime)
BUFFY : Je t'ouvre ma porte, je te fais confiance et tu agresse ma famille !
ANGEL : Et alors ? J'ai tué la mienne...
BUFFY : Je sais ce que tu es.
ANGEL : Crois-tu ? Je suis une brute, un animal ?
BUFFY : Non, pas un animal. Les animaux, je les aime.
BUFFY : Maman, lui, c'est Mr Giles.
JOYCE : Qui s'occupe de la fameuse bibliothèque ? Qu'est-ce qu'il fait là ?
GILES : J'étais venu vous présenter mes hommages, vous souhaiter de bien vous rétablir.
JOYCE : Les professeurs sont très attentionnés dans cette ville.
CORDELIA (à une fille qui a la même robe qu'elle) : Où as-tu dégoté cette robe ? C'est un modèle exclusif de chez Todd Oldman ! Tu sais combien elle coûte ? Je parie que c'est une copie ! (regarde l'étiquette) Mais bien sur ! C'est une pâle imitation bon marché ! C'est scandaleux ! Je devrais te l'enlever et te dénoncer ! Tu mérites la prison !
BUFFY : Et on croit avoir des problèmes...
ALEX (à Willow & Buffy) : Décidément, cette Cordelia est une vrai purge, une mauvaise haleine. Qu'est-ce que vous faîtes les biches ?
WILLOW : Nous, on s'interrogeait vaguement sur la vie qui passe, passivement... Tiens un cafard, regardez... (elle l'écrase)
ALEX : Oh, arrêtez, stop, pitié, c'est trop, quelle ambiance d'enfer, je meurs de rire !
BUFFY : Bon, il est temps que je rentre, c'est contagieux le cafard...
CORDELIA (à Alex qui vient de lui écraser les pieds sur la piste de danse) : Je te prierais d'ôter ton extrême lourdeur de mes chaussures à 100 dollars chacune !
ALEX : Désolé, j'allais...
CORDELIA : Enlever ta graisse de la piste ?
WILLOW : Comment faîtes-vous pour toujours tout savoir ? Vous êtes toujours au courant de tout et moi je ne suis jamais au courant de rien !
GILES : Est-ce que vous êtes là depuis minuit à effectuer des recherches ?
WILLOW : Non, j'avoue que je dormais...
ALEX (à Buffy, à propos d'Angel) : Oui, même si tu as de la sympathie pour lui, c'est pas comme si tu l'aimais quand même ! (il réalise que c'est le cas) ...Qu'est-ce que tu dis, tu aimes un vampire, non mais t'es malade !
CORDELIA (qui arrive) : Quoi ?
ALEX : Hein, ah, euh mais, quel vampire ? Alors, tu aimes le cachemire, toi ! Tout le monde le déteste !

08 - Moloch

WILLOW : Malcolm, tu te souviens de moi, je suis ta petite amie, finalement je crois qu'on devrait rompre, mais peut-être qu'on peut rester bons amis.
BUFFY (à propos de Malcolm) : Quelle tête il a ?
WILLOW : J'en sais rien !
WILLOW : Pourquoi est-ce qu'il faut toujours parler du physique ?
BUFFY : Non, pas toujours, mais ça a son importance. Imagine qu'entre vous ça devienne très très très sérieux et que tu découvres un jour qu'il a le dos poilu !
WILLOW : Oh, non, il n'a rien dit qui laisserait supposer qu'il a le dos poilu...
BUFFY (à propos de Malcolm) : Ca peut être un monstre, mais oui, bien sûr, c'est un monstre !
ALEX : Tu vois ce genre de choses, ça arrive, on prend rendez-vous sur le net, on décide de se retrouver au restaurant ou d'aller danser et ça se finit par un meurtre !
BUFFY : Willow assassinée par un horrible monstre ! C'est ça, c'est ça ! Qu'est-ce qu'on peut faire ? Qu'est-ce qu'on va faire ? (sourit) Alex, t'es un mec génial, on a totalement disjoncté tous les deux !
ALEX : Peut-être, mais c'était marrant !
BUFFY (à Alex & Willow) : Soyons logiques ! Aucun de nous n'aura de relation tout à fait normale dans sa vie !
ALEX (blaguant) : Et ouais, on est maudits ! (ils réalisent tous trois que c'est le cas)
GILES : Quand je l'aurai examiné, vous pourrez le... skiner...
JENNY : Scanner Rupert, on dit scanner.
GILES : Bien sûr...
JENNY : Je sais que tout ça est loin de vous, mais j'ai bon espoir de vous voir atterrir dans le 20e siècle.
GILES : Je vais mettre un peu d'ordre avant de retourner au Moyen-Age.
JENNY : Retourner, vous dîtes ?
GILES : J'ai été ravi de discuter avec vous.
JENNY : On se disputait !
GILES : Eh bien, nous recommencerons une autre fois. A bientôt !


09 - La Marionnette

GILES : Tous les sept ans ils ont besoin d'organes humains, un cerveau et un coeur, pour garder leur humanité. Sans cela, ils doivent reprendre leur forme originelle, laquelle manque de sex-appeal.
WILLOW : C'est horrible de se dire qu'il y en a un dans ce lycée. D'autant que ça peut être n'importe qui. Même moi. (tout le monde la dévisage) Ou quelqu'un d'autre. (A propos d'un meurtrier)
SNYDER : Ce qu'il leur faut c'est de la discipline. Je sais que d'aucun juge ce mot passablement démodé. Mon prédécesseur aurait dit : Il faut se montrer compréhensif. Ce sont des adolescents. C'est le genre d'attitude qui vous mène tout droit à la catastrophe.
SNYDER : Cet établissement souffre de sa réputation. Suicides, élèves disparus, combustion spontanée d'une pom-pom girl. On peut remédier à cela. Il suffit de museler les mauvais éléments.
SNYDER : Il y a des choses que je ne peux tolérer : les élèves dans l'établissement après les cours, d'horribles meurtres que l'on commet dans mon lycée. Ainsi que la drogue bien sûr.
SID : C'est toi la fameuse élue ? (Buffy hoche la tête) La vache ! J'en ai connue une dans les années 30. Une coréenne. Un beau brin de fille. J'en garde un souvenir ému. On a vécu de bons moments. (elle le dévisage) Hey, j'étais pas en bois à l'époque. J'étais de chair. (à Buffy)
CORDY : Quoi ?
GILES : Oh, excusez-moi, je, euh... Vos cheveux, euh...
CORDY : Je suis mal coiffée ? Oh mon Dieu !
GILES : Bien joué, ça a marché au-delà de toute espérance !
BUFFY : Ahhh ! Une marionnette !
ALEX : Ahhh ! Un mime !
GILES : Notre nouveau Fuhrer, Mr. Snyder.
WILLOW : Je crois qu'on appelle ça un proviseur aujourd'hui.
CORDELIA : J'ai du mal à croire qu'elle soit morte, Emma était ma meilleure amie.
ALEX : Emily...
CORDELIA : Tu te rends compte, ça aurait pu être moi !
ALEX : Ne me donne pas de fausses joies...
BUFFY : Désolée de t'avoir réveillée.
JOYCE : C'est pas grave, je rêvais d'un amoncellement de factures.
GILES : Cordelia, il y a un adage qui dit que contre le trac, il faut imaginer les gens en sous-vêtements.
CORDELIA : Même Mme Franklin ?
GILES : Peut-être pas elle...
CORDELIA : J'ai du mal à réaliser qu'elle soit morte. Emma était l'une de mes meilleures amies.
ALEX : Emily.
CORDELIA : Et tu te rends compte ? Ca aurait pu être moi !
ALEX : Ne me donne pas de fausse joie.
GILES : Bon, d'accord, occupez-vous de Morgan. Voyez si vous trouvez quelque chose dans son casier.
WILLOW : Quoi, un coeur ?
GILES : Par exemple.
CORDELIA : Moi, je regrette, c'est au dessus de mes forces. Ils vont tous avoir les yeux fixés sur moi et ils vont me juger comme si j'étais euh... Buffy ! Et s'ils me trouvent horrible ?
GILES : Cordelia, il y a un vieil adage qui dit que quand on a le trac il faut imaginer les gens en sous-vêtements.
CORDELIA : Oh ! Même Mme Franklin ? Ugh !
GILES : Peut être pas elle.


10 - Billy

ALEX : S'il y a un monstre en liberté, on le trouve, tu le flingues et on fait la fête !
LE MAITRE : Alors. C'est toi la Tueuse ? Tu es plus jolie que la dernière. (à Buffy)
WENDELL (à Alex qui a oublié le cours de la veille) : Mlle Tishler nous a fait une démonstration hier.
WILLOW : Avec toi !
BUFFY : Elle portait un pull moulant.
ALEX : Oh, oui mais bien sûr, le beau pull angora. Tu vois que j'écoutais.
WILLOW : Quand Buffy était un vampire, est-ce que... est-ce qu'elle te plaisait toujours autant ?
ALEX : Willow, comment j'aurais... enfin t'es malade. Elle était... grotesque.
WILLOW : T'es toujours aussi accro ?
ALEX : Ouais, d'accord, c'est moi qui suis malade.
WILLOW : Je le savais.
CORDELIA (à Wendell) : Hello, Rufus, tu es dans ma lumière...
ALEX : Wendell, voyons, qu'est-ce qui te prends ? Ne sais-tu pas que notre Cordelia est le centre de l'univers et que nous, pauvres satellites, nous tournons autour d'elle ?
CORDELIA : Est-ce que ça vous ennuierait d'aller satelliser ailleurs ?
ALEX (aux filles) : Wendell était dans la lumière de Cordelia !
WENDELL : J'en suis tout ébloui !
WILLOW : Je trouve qu'elle a un faux air d'Evita.
BUFFY : Ouais, je crois que c'est ses cheveux.
WILLOW : Telle la sirène, elle y entortille ses proies.
BUFFY : Ce que j'ai vu serait le corps astéroïde de Billy ?
GILES : Le corps astral de Billy...
WILLOW : Qu'est-ce qui a provoqué une chose pareille ?
GILES : Billy.
ALEX : Ca c'est une explication claire et concise : c'est Billy ! Qui est Billy ?
WILLOW : Comment on va faire pour le réveiller ? Et si on n'y arrive pas ?
GILES : Willow, aurais-tu l'obligeance de la fermer ?


11 - Portée disparue

ALEX : Je donnerais tout pour être invisible... J'utiliserais mon pouvoir pour frapper les abrutis et puis pour... euh... protéger le vestiaire des filles.
CORDELIA : Ca me rend dingue les gens qui croient être les seuls à avoir des problèmes ! Par exemple, un jour j'ai bousculé une fille sur une bicyclette, c'était peut-être l'événement le plus traumatisant de toute ma vie, et elle s'est préoccupée que de sa jambe et de ma peine, elle s'en fichait !
CORDELIA : Buffy, je sais que nous sommes très différentes et tu me fais peur avec tous tes trucs bizarres et puis t'es toujours avec ces deux ringards (Alex et Willow), mais malgré tout ça, au fond de nous, on sait qu'on s'apprécie et qu'on a beaucoup de choses en commun !
BUFFY : Les monstres écrivent très rarement. En général ils broient, ils tuent, ils écrabouillent, c'est très différent...
BUFFY : Tu t'es déjà demandé si tu étais capable de ne pas couper la parole ? (à Cordelia)
BUFFY : Est ce que je suis un porte parole fidèle en disant : 'Hein ?!'
SNYDER : Il n'y a pas d'étudiant mort ici, pas cette semaine.
ALEX : Faut vraiment être abrutie pour être Reine de Mai.
BUFFY : Je l'ai été.
ALEX : Abrutie ?
GILES : Alex, tu n'as rien à faire, tu es le bienvenu...
ALEX : Ah bon, y'a des devoirs maintenant ? C'est nouveau ça !
BUFFY : Pose des questions, vois ses amis, parle à Cordelia.
ALEX : Parler à Cordelia ? (à Giles) Je viens avec vous !
HARMONY : Aïe !
SNYDER : Pas de procès, hein !
ALEX : Je donnerais tout pour être invisible : je frapperais les abrutis et je protégerais le vestiaire des filles.
GILES : Ce point de vue est... enfin c'est un point de vue.
WILLOW : Passe de bonnes vacances, passe de bonnes vacances... cette fille n'avait pas d'amis du tout.
GILES : Une fois de plus je mesure combien je suis d'une autre époque.
BUFFY : Cordelia sera l'appât.
CORDELIA : Super. Un appât ? Dis, un appât, c'est pas un asticot ?
BUFFY : Je voulais t'aider, mais j'avais oublié un détail : t'es complètement toquée.
MARCIE : Ouais, mais la toquée elle est invisible.
CORDELIA (dans son discours à l'élection de la Reine de Mai): Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais plutôt : Qu'est ce que je vais mettre pour le bal de printemps ?.
MITCH (à propos de la robe de Cordelia) : Je parie qu'elle est bleu comme tes yeux ! Ah, ah !
CORDELIA : Ah, ah, ah ! Mes yeux sont noisettes mais c'est pas grave !
CORDELIA : Hey ! Je sais bien ce que c'est que la solitude, même si j'ai plein d'amis. J'ai beau être entourée, par moments je me sens complètement seule. En fait la plupart des gens ne me connaissent pas bien, je ne sais pas s'ils ont un peu d'amitié pour moi ou pas. Je fais parti des filles qu'on flatte. Et parfois pendant que je parle, ils ont tellement le souci d'être d'accord avec moi qu'ils se fichent de ce que je dis.
BUFFY : Pourquoi tu te donnes tant de mal pour leur plaire si ce ne sont pas tes amis ?
CORDELIA : Je préfère être mal accompagnée qu'être seule.
BUFFY : Donc, tu penses à moi pour t'aider ?
CORDELIA : Oui, parce que tu es toujours là quand il se passe quelque chose de bizarre et puis parce que tu es très forte ! Et aussi parce que tu as plein d'armes ! Et je me suis dis que tu faisais peut-être parti d'un gang !
BUFFY : Tout à l'heure, ce que tu me disais, ben je le comprends. Peu importe d'être apprécié ou pas du moment que...
CORDELIA : Toi, tu as déjà été très appréciée ? Dans un monde virtuel !
GILES (à la bibliothèque, à Cordelia qui lui demande de l'aide) : C'est drôle, je ne me souviens pas vous avoir vu ici auparavant !
CORDELIA : Oh non, je suis très occupée !
CORDELIA (à propos de Marcie dont elle voit la photo) : Ben dis donc ! Elle fait pas d'efforts sur sa coiffure !
ALEX : Envie de meurtre...
MITCH (voyant Cordelia avec Alex, Willow & Buffy) : Oh non, t'es pas devenue copine avec ces blaireaux, non ?
CORDELIA : Tu veux rire ? J'ai fait preuve de charité ! Je leur donnais des conseils sur leurs fringues ! Tu crois tout de même pas que je pouvais avoir des amis dans ce genre ! Quelle horreur !
ALEX : On aurait du laisser Marcie faire joujou avec son bistouri !


12 - Le Manuscrit

ALEX : Ca aurait pû être pire, remarque. Si j'avais la gangrène sur la figure. (À Willow à propos du rejet de Buffy)
BUFFY : Je suis peut-être morte, mais il me reste la beauté. Je pourrais pas en dire autant de vous. (Au Maître)
BUFFY : Vous avez une bouche de boxer ! (Au Maître)
BUFFY : C'est ma vie que je mets en jeu dans le combat contre les morts vivants, tiens, je me suis cassée un ongle vous savez !
BUFFY : Angel, fais ta tête des mauvais jours.
BUFFY : Si l'enfer vous branche autant, retournez-y ! (au Maître)
LE MAITRE : Ah Satan ! Quelle puissance ! Ah au fait... très jolie la robe.
CORDELIA : Ah tiens, les voilà ! Ils regardent des dessins animés... C'est chou ! Oh, non c'est nul ! Très nul hein ? Oh, ça m'ennuie !
WILLOW : C'est vrai ! Je suis furieuse !
CORDELIA : Ah, les hommes, je me demande pourquoi on les supporte !
WILLOW : Je te le fais pas dire !
JENNY : Donc, ce type là, Le Maître, a forcé l'entrée, enfin la porte de l'Enfer, mais il y est resté coincé, sauf que maintenant tous les signes présagent qu'il va sortir, donc les portes de l'Enfer vont s'ouvrir, ce qui va libérer les démons, ce qui annonce la fin du Monde.
GILES : Oui, cela résume assez bien les faits.
ALEX (à propos de Buffy) : Comment avez-vous pu l'y autoriser !
GILES : Comme en témoigne le beau bleu qui orne ma joue, elle a agit sans autorisation !
BUFFY : Pour quelqu'un qui a tant de pouvoir, vous n'aimez pas trop prendre de risques !
LE MAITRE : Je vous attends... Je suis prêt ! J'ai envie de faire durer ce moment, pas vous ?
BUFFY : Non ! Pas du tout !
BUFFY : Vous avez une bouche de boxer...
LE MAITRE : Quoi ?
BUFFY (le frappe) : Gardez vos petits tours de magie pour les touristes !
LE MAITRE : Oserez-vous rire encore quand j'amènerai l'Enfer dans le Monde ?
BUFFY : Si l'Enfer vous branche autant... Retournez-y !
BUFFY : Je dois affronter mon terrible destin.
GILES : Quoi ?
BUFFY : La biologie.
CORDELIA : Willow ! Oh, j'adore ce que tu portes !
WILLOW : Non, tu détestes.
CORDELIA : Bon c'est vrai, mais j'ai besoin d'un service.
ALEX (à Giles à propos de Buffy) : Comment avez-vous pu l'y autoriser ?
GILES : Comme en témoigne le bleu qui orne ma joue, elle a agi sans autorisation.
LE MAITRE : Bienvenue chez moi...
BUFFY : Quel accueil charmant... Dites, j'espère que vous avez une bonne assurance, ce genre de dégâts des eaux ça vaut une fortune !
BUFFY : Je suis peut-être morte, mais il me reste la beauté, je ne pourrais pas en dire autant de vous.
LE MAITRE : C'était écrit dans les textes, vous deviez mourir.
BUFFY : C'est du grec ancien, j'ai raté l'écrit.
ANGEL : Quoi ?
ALEX : Tu fixais la veine sur mon cou.
ANGEL : C'est pas vrai.
ALEX : Reste à un mètre devant moi.
ANGEL : Je n'ai pas regardé tes veines !
ALEX : Je t'avais dit de manger avant de partir.